Ferme self-services

Ben a acheté un gâteau dans une pâtisserie stylée. Il leur ramène pour se faire rembourser mais compliqué car il a ajouté un ingrédient dessus.

(seul dans une ferme en montagne)

Plongé dans l’obscurité, ça toque à la porte, je décide de ne pas aller ouvrir.

Les personnes vont ouvrir la porte d’une dépendance à côté. Je sors finalement de la maison les rejoindre. Je me rends compte que c’est la police locale/gendarmerie.
Il y a une gendarme sympa : [“Monsieur Laporte votre jambon qui pend là, ça a l’air bon mais il ne faut pas le laisser sécher comme ça. Le gras il faut l’enlever, il faut que ce soit sec”].
Visiblement je laisse trop de gras et ça moisit sur place.

(dans ville pyrénéenne fictive qui joue le rôle de Luz-Saint-Sauveur)

Dans une boucherie un peu éloignée de la ville au sommet d’une colline.
Je suis dans la file d’attente. J’ai donné rendez-vous à cette boucherie à Arthur d’A. J’arrive dans la boucherie il est déjà là, en train de blaguer avec le personnel.
Il vient d’emménager à Luz, la dame à la caisse lui demande ce qu’il a prévu de faire. Il lui répond une liste à la Prévert, termine par le fait qu’il veut monter une pièce de théatre. Toujours dans la queue j’interviens assez fort : “Mais ça Arthur on a dit qu’on le gardait pour quand ta fille aura 10 ans” pour signaler ma présence. Flop. Il recupère sa nourriture et viens me voir.

Julien H débarque.
On commence à faire un peu le tour du magasin, c’est une sorte de self-service mais avec un parcours à suivre (comme à Flunch). Nestor s’est ajouté, mon frère est là aussi, je fais les présentations.
Camille arrive dans le magasin, on blague que j’étais réfractaire à voir les collègues hors boulot (?) or j’ai donné rendez-vous [à la moitié de la boîte] dans la boucherie.

On progresse mais se succèdent des plats plus lourds les uns que les autres, on arrive à une sorte de cruche contenant de [la garbure]. Avec la cuillère, je vais gratter dessous pour ramener des légumes. Je vois qu’il y’a d’autres trucs hyper bon et me dit qu’il faut que je garde de la place pour les autres produits à venir.

Je tombe sur du guanciale, je suis en train de couper un morceau quand j’entends mon frère qui raconte à Dim que quand Marion ne veut pas manger quelque chose il ne la force pas, nos parents nous le faisaient quand on était petit mais désormais ça ne se fait plus.

Un salarié de la boucherie vient me voir et me dit d’aller à la caisse car “mon ami” (Nestor) a mal compris une indication et a pris un dessert qu’il faut aller récupérer dans un autre magasin.